Hoje voltei a ouvir Florent Pagny, um cantor e compositor francês de que gosto muito. Letras inspiradas, melodias românticas sem pieguice, instrumental muito bem produzido. E os vídeos, bem, esse é outro capítulo. Confira, abaixo, as minhas preferidas.
CHANTER
Chanter, pour oublier ses peines,
Pour bercer un enfant, chanter...
Pour pouvoir dire "Je t'aime..."
Mais chanter tout le temps...
Pour implorer le ciel ensemble,
En une seule et même église,
Retrouver l'essentiel... et faire...
Que les silences se brisent...
En haut des barricades,
Les pieds et poings liés,
Couvrant les fusillades,
Chanter sans s'arrêter...
Et faire s'unir nos voix,
Autour du vin qui ennivre,
Chanter quelqu'un qui s'en va,
Pour ne pas cesser de vivre...
Quelqu'un qui s'en va
Pour ne pas cesser de vivre...
Chanter,
Celui qui vient au monde...l'aimer...
Ne lui apprendre que l'Amour,
En ne formant qu'une même ronde,
Chanter encore et toujours...
Un nouveau jour vient d'éclore...
Pouvoir encore s'en emerveiller,
Chanter malgré tout toujours plus fort...
Ne plus faire que chanter...
Et faire s'unir nos voix,
Autour du vin qui ennivre,
Chanter quelqu'un qui s'en va,
Pour ne pas cesser de vivre...
Oohhooohoo
Je ne sais faire que Chanter,
Pour quelqu'un qui s'en va
Pour ne pas cesser de vivre...
Chanter, {Chanter}
Pour oublier ses peines. {Ohohoo}
Pour bercer un enfant... chanter...
Pour pouvoir dire "je t'aime !" {je t'aime...}
Chanter tout le temps {tout le temps...}
En haut des barricades, {Ohoho}
Les pieds et poings liés, {Chanter...}
Couvrant les fusillades, {c'est clair...}
Chanter sans s'arrêter... {chanter...}
Et faire s'unir nos voix, {ohoho}
Autour du vin qui ennivre, {Chanter...}
Chanter quelqu'un qui s'en va, {qui s'en va...}
Pour ne pas cesser de vivre... {cesser de vivre...}
Ohooo
Je ne sais faire que chanter
Pour quelqu'un qui s'en va {qui s'en va, qui s'en va...}
Pour ne pas cesser de vivre...
Chanter...
Ohoho
Ohoho...
CHATELET LES HALLES
Entre gris et graffitis
Où s'enferme le quotidien
Et des murs tellement petits
Qu'on entend tout des voisins
Avec pour seul vis-à-vis
Des montagnes de parpaings
Où déambule l'ennui
Et se traînent des destins
Le samedi après-midi
Prendre des souterrains
Aller voir où ça vit
De l'autre côté
Châtelet
Châtelet les Halles
Station balnéaire
Mais où y a pas la mer
Comme de banlieue la plage
Voir un peu de bleu
Échouer sa galère
Marquer son passage
Quand y a plus de repères
Châtelet la fin du voyage
C'est pas ici Tahiti
Mais c'est toujours mieux que rien
Les baskets sur le parvis
Ne vont jamais très loin
On y piétine les débris
Et les abris clandestins
Éprouvant même du mépris
A ceux qui tendent la main
De Harlem à Paris
S'engouffrer dans un train
Puis un couloir qu'on suit
Ne pas aller plus loin
Châtelet
Châtelet les Halles
Station balnéaire
Mais où y a pas la mer
Voir un peu de bleu
Châtelet
Échouer sa galère
Marquer son passage
Quand y a plus de repères
Châtelet la fin du voyage
La fin du voyage
La fin du voyage
La fin du voyage